L’introduction en Bourse n’est pas réservée uniquement aux grandes entreprises

Les besoins de financement des entreprises sont en hausse (Baromètre de KPMG et de la CGPME – 24ème édition 2015). Pourtant, 75% des dirigeants ont fait l’objet d’une mesure de durcissement dans leurs conditions de financement par les banques et s’autolimitent donc dans leurs investissements.

Dans le même temps, on constate que le montant des capitaux levés sur les Marchés est en hausse de 80% par rapport à 2013 et pour 178 entreprises contre 133 l’année précédente (4ème rapport annuel 2014 de L’Observatoire du Financement des Entreprises par le Marché).

Ceci ne concerne que peu d’entreprises, 27 précisément qui ont collecté sur le Marché 550 millions d’euros et dont 40% sont issues du secteur de la santé et des biotechnologies.

Ce secteur ne représente que peu de choses dans l’activité économique nationale et c’est donc une infime minorité des entreprises qui ont bénéficié des capitaux des Marchés financiers. Les autres ne pensent pas pouvoir avoir accès au Marché financier par la Bourse alors qu’elles sont porteuses de projets rentables et économiquement justifiés.

Au contraire, outre atlantique, 80% des besoins en financement des entreprises passent par les Marchés financiers et boursiers. En Europe, c’est l’inverse, 80% de la satisfaction des besoins de financement sont entre les mains du système bancaire.

Le choix de la Compagnie Juridique

L’Introduction en Bourse n’est pas réservée uniquement aux grandes entreprises, elle n’a plus de frontières.

Notre devise

Favoriser et accompagner les entreprises qui recherchent un recours direct aux marchés financiers par l’introduction en bourse (I.P.O.) pour offrir une ouverture de leur capital aux investisseurs professionnels et à terme au public.

Ce choix est opportun et naturel puisque toutes les compétences nécessaires au développement de ce secteur existaient au sein de la COMPAGNIE JURIDIQUE.
Ce nouvel axe correspond aussi à une exigence des autorités Européennes qui veulent que les entreprises fassent majoritairement appel aux marchés financiers pour satisfaire leurs besoins de financement.

Les marchés financiers eux-mêmes sont devenus dans le même temps, très friands de « pépites » à fort potentiel de développement et/ou à rentabilité future prometteuse